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Port crouesty 2007 (arrivée du Raid du golfe du Morbihan)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Saint Gilles 2008 (Diagonale des Fous)

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Programme 2012

programme pour 2012

21 janvier: RAID 28 trail orientation en équipe 95 km 1200 D+

29 avril: RADICATRAIL 56 km 1250 D+

13  mai:   TRAIL PAYS DE BRAY 55 km 1100 D+

22 - 23juin: GRAND RAID 56  177 km 

23 - 26  juillet: FRA LI MONTI (GR 20) 175 km 12000 D: en off, objectif 96 heures maxi.

9 - 16 septembre:     TOR DES GEANTS    330 km  24000 D+

8 décembre: TRAIL DU TOUR DU CANTON    82 km  1000 D+

9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 21:15

Pour me rassurer avant le trail bullygeois des tranchées, une visite à la Boussole Gonfrevillaise, organisatrice du trail des sept mares. 23 km avec quelques bons raidards sous un ciel radieux. 600 m D+ d'après le GPS d'un coureur. Je prends cher: 02:33:09. S'il n'y a effectivement que 600 m D+, c'est mon plus mauvais score d'après www.softrun.fr !

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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 22:00

C'est un peu bête, un coureur. Qu'est ce qu'il fait un jour comme aujourd'hui un coureur ? Il court pardi ! Avec neuf autres kikoureurs. La trace de notre parcours hors sentier très roots concoctée par Christian P. est un peu spéciale vue d'avion

2015-01-11 cours Charlie, cours!
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7 décembre 2014 7 07 /12 /décembre /2014 00:00

Septième édition au TTC 82 km et septième participation avec Bertrand. Comme chaque année ce samedi là, il faut mettre le bleu de chauffe. Les 82 km sont bouclés en 10:41:10, l'objectif moins de 11 H est respecté.

A des années lumière, BCP (Bertrand Collomb Patton), 2ème français sur l'UTMB 2014 termine en 06:33:18, presque une heure devant le second !

Allez, à l'année prochaine et les suivantes. Yann nous promet une inscription gratuite pour la dizième ^_^

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 22:03

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 22:01

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 22:23
Un massif ça va, quatre bonjour les dégâts :-)

Départ dans l’habituelle joyeuse ambiance des ultra trails. Un peu de stress en raison de mes deux tendons d’Achille qui sont assez douloureux depuis quelques temps. Il s’avèrera qu’ils se feront oublier pendant toute l’épreuve. Je me suis dit que c’est sans doute mon dernier 100 miles et je tiens absolument à aller au bout du bout.
Première difficulté, l’escalier le long du tremplin olympique très raide, le palpitant commence à monter dans les tours.
Le magnifique panorama en haut du Moucherotte avec le mont Blanc bien visible. Je ne vois pas mon frère qui est monté depuis le Vercors, j’apprendrai plus tard qu’il m’a loupé de 10 minutes parce que je suis monté trop vite ;-)
Longue descente à travers bois puis traversée de la montagne d’Uriol. Je fais le yoyo avec un relayeur qui termine son relais à Vif et m’encourage chaudement.
Montée du col de la Chal: je croise Philippe, un bon coureur que je retrouve régulièrement au hasard des courses, depuis un épique covoiturage à Millau en 2006. Il abandonne par manque de motivation et ça me met un petit coup. Il fait chaud, je monte lentement, je suis à l’arrêt, je ne vois plus personne, les pensées négatives me submergent « c’est terminé ces conneries, c’est ton dernier ultra, et aujourd’hui tu vas mettre le clignotant à Rioupéroux et basta … ». Un peu plus tard, à ma surprise, je rattrape quelques traileurs. Deux trois mots échangés, un peu d’animation, trois fois rien, et ça me rebooste.
La traversée dans le massif du Taillefer a été allégée en raison d’un allongement du parcours dans le Vercors. La poursuite du trail continue vaille que vaille, malgré le releveur du gros orteil gauche qui me lance méchamment de temps en temps (je me demande si je ne l’ai pas trop sollicité à porter des crocs un peu trop grandes pendant toutes les vacances).
Descente sur Rioupéroux (1380 D-). Un bénévole m’annonce « ça descend raide, mais le sentier est propre, il a été nettoyé. » Néanmoins cette descente est terrible. Bien qu’elles soient déjà bien entamées, j’ai mis les Salomon achetées aux soldes de l’hiver en vue du GR 20, pour les finir. Elles sont sans doute insuffisamment serrées, les petits orteils, surtout le droit, sont très douloureux.

Base vie de Rioupéroux – samedi 06 :00. Je nettoie mes pieds et file chez les podologues, car je ne le sens pas bien de continuer ainsi. Ils me soignent deux belles ampoules sur le côté de chaque talon. Par contre, ils ne peuvent rien faire pour les deux petits orteils et m’annoncent qu’au moins un des deux ongles va tomber prochainement. Je strappe les deux orteils pour les protéger, mets des chaussettes propres et reprends des bonnes vieilles (et pas trop usées) XA PRO 3D laissées dans le sac d’allègement. Ah ! ça va tout de suite mieux pour attaquer le prochain morceau et quel morceau : Belledonne.
Montée au plateau de l’Arselle (1160 D+): cette montée est terriblement raide, il fait très chaud dans ce sous bois. Une gorgée d’Effinov et aussitôt tout ce que j’ai avalé ressort. Quelques minutes plus tard, de violents spasmes à l’estomac me plient en deux, d’autant plus qu’il n’y a absolument plus rien à rejeter. Dès lors il va falloir gérer « piano, piano » car je sais d’expérience que je ne pourrai même pas boire une gorgée pendant les heures qui viennent. Deux AMM (accompagnateurs moyenne montagne) sont installés à chacun des deux points les plus aériens en fin de montée. Merci à eux.
C’est ensuite la montée vers la croix de Chamrousse, malheureusement nous nous retrouvons dans les nuages pour tout le passage dans la traversée de Belledonne. Le ravito est installé confortablement dans le restau d’altitude. J.M. Touron arrivé en même temps part dormir une heure tandis que je me précipite au restau lui-même où je m’offre deux boules de sorbet citron. Depuis le marathon du Mont St Michel 2005, c’est le seul remède que j’ai trouvé pour m’hydrater un peu quand je ne peux plus rien avaler. Mais rarement facile de trouver une glace à l’eau sur un ultra trail (sauf à la sortie de Courmayeur avant d’affronter la montée de Bertone).
Nous repartons en groupe avec une visibilité très très réduite. Le balisage a été parfait tout au long du parcours, mais ici, dans les nuages, il faut chercher un peu les balises réfléchissantes bien qu’elles ne soient espacées que de 30 mètres.
Je retrouve le lac Achard et le refuge de la Pra découverts en 2013 lors de l’Echappée Belle. Au refuge, un secouriste me donne un Primperan et note mon numéro de dossard, en insistant pour que j’essaie doucement de réhydrater. Nous traversons cette magnifique région recouverte de lacs mais nous ne les voyons qu’à peine. Quel dommage, mais au moins il ne fait pas trop chaud. Les cadors du 90 me dépassent en trombe, c’est très impressionnant.
En haut du grand Colon (alt. 2370m), une surprise m’attend : mon frère est monté depuis Freydières pour m’accompagner un bout. Un gendarme est également là pour surveiller les excès de vitesse J. J’essaie de trottiner autant que possible dans la descente mais ça ne va pas très fort. A Freydières, il est 16:00, rien avalé depuis 10 heures à part les deux boules de sorbet. Je réussis à boire deux tasses de thé, et j’emporte quelques provisions dans un sac pour plus tard (tuc, quatre quarts, pomme). Nous rattrapons Anyah, une kikoureuse rencontrée sur la ligne de départ ; elle m’annonce qu’elle a décidé de stopper à St Nazaire, on ne pourra pas se soutenir pour affronter Chamechaude la nuit prochaine. Autant que possible, je trottine dans la longue descente vers St Nazaire, encouragé par mon frère jusqu’à ce qu’il me quitte pour remonter à Freydières. On se donne RV le lendemain à Grenoble.
St Nazaire les Eymes – samedi 19:00. J’essaie de dormir 10 minutes car j’ai commencé à m’endormir en marchant vers la base vie mais c’est trop bruyant. Nouveau nettoyage de pieds et je mange un peu. Enfin !
J’angoisse pour la montée du col de la Feïta (1160 D+) mais pas à pas, je finis par y arriver. Habert de Chamechaude – dimanche 01:30 : l’accueil est fabuleux. J’y retrouve avec délice l’ambiance du bivacco Rosaire Clermont sur le TDG. Je m’allonge sur un fin matelas mousse dans le grenier et dors 10/15 minutes. Il faut ensuite quitter la douce chaleur du feu de cheminée pour grimper Chamechaude sous un vent très frais au point que le buff UT4M est baptisé pour me protéger le visage (merci aux trois chasseurs alpins qui sont restés 33 heures au sommet pour veiller sur notre passage).
A partir de Chamechaude, je sais que c’est dans la poche. Tout va de mieux en mieux, je bois, je mange, je trottine, c’est la belle vie, quoi ! Au petit jour, je croise une tête vaguement connue qui déboule dans la descente du fort St Eynard. Le temps de faire fonctionner ce qui reste de neurones pour identifier Julien Chorier, parrain de la course, mais il est déjà loin, l’autographe ce sera pour une autre fois.
Je trace dans la descente sur Grenoble qui offre de belles vues sur l’agglo et toutes ces montagnes qui l’entourent. Je me traîne un peu sur la looooongue partie plate finale dans la ville pour franchir la ligne en 50:21, un peu ému. Quelle belle épreuve ! Un grand merci aux organisateurs, bénévoles, secouristes, AMM, militaires qui nous ont accompagnés et soutenus pendant cet UT4M.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 22:22

jhlh

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 22:21

bbbbb

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 22:20

lkjmhm

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 22:19

klkmk

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