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Port crouesty 2007 (arrivée du Raid du golfe du Morbihan)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Saint Gilles 2008 (Diagonale des Fous)

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Programme 2012

programme pour 2012

21 janvier: RAID 28 trail orientation en équipe 95 km 1200 D+

29 avril: RADICATRAIL 56 km 1250 D+

13  mai:   TRAIL PAYS DE BRAY 55 km 1100 D+

22 - 23juin: GRAND RAID 56  177 km 

23 - 26  juillet: FRA LI MONTI (GR 20) 175 km 12000 D: en off, objectif 96 heures maxi.

9 - 16 septembre:     TOR DES GEANTS    330 km  24000 D+

8 décembre: TRAIL DU TOUR DU CANTON    82 km  1000 D+

11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 00:48
Voilà le 11ème et dernier ultra de l’année s’est achevé dimanche matin à 8 h 11 , à l’Origole. Retour sur ces 11 ultras, ponctué de quelques images fugitives.
 
Début Mars : trail de Vulcain.
Retour sur les puys d’Auvergne, parcourus en rando pendant les six années passées à Clermont, il y a vingt ans. Covoiturage avec un cador, Didier Bruyas. Dîner en compagnie des zanimaux du zoo. Un ciel magnifique éclaire le départ de Volvic, il fera presque trop chaud dans l’après midi !
Je passe la barrière horaire du col de la Nugère avec 15 mn de marge. La montée du Puy de Dôme par la voie romaine n’a pas changé, toujours aussi dure, mais quel panorama du sommet. Il paraît que par temps très clair on voit un huitième de la France.
La suite est un peu plus difficile. Au début de la dernière et longue descente, je m’accroche à une féminine, Isabelle Traeger, puis nous nous relayons et nous cravachons pour finir dans les délais. Superbe finish.
 
Mi-Avril : 24 heures de Montigny en Gohelle.
Pour mon baptême du feu en circadie, j’ai choisi le ch de France. L’occasion de cotoyer et d’admirer les champions de la discipline. Dans la liste des participants, je suis coincé entre Ch. Bodet et P. Bruneteau, cherchez l’erreur de casting !
Ca part très très vite, j’ai l’impression que JP Guyomarch et les élites font un semi. Je serre le frein à main mais tout de même parti trop rapidement. Les fusées tournent sans relâche, me doublent et me redoublent: A. Vallée, V. Jehanno, K. Herry, B. Bec, D. David, D. Provost, C. Efflam et bien sûr le vainqueur C. Hardel.
Drôle d’impression de courir dans un no man’s land, en pleine ville, avec très peu de spectateurs. Un coup de fatigue dans la nuit, puis des ennuis gastriques. Je joue au pacman les dernières heures pour finir 44ème, loupant les 155 km pour 11 petits mètres. Pour une 1ère expérience, je ne regrette rien de rien.
 
Mi-Mai : 12 heures de Bures sur Yvette
Echauffé par ce 24 heures, je pars pour faire une « perf » perso, c'est-à-dire plus de 100 km voire titiller les 105/110. Oublié le principe n°1 de l’ultrarunner : l’humilité. Après 60 km, malade, je rends tout ce que je peux. C’est le moment choisi par les cieux pour nous déverser un gros orage. Dégoûté, je plie ma tente et file comme un voleur sans dire au revoir aux copains. Après 2006, Bures est décidément maudit pour moi.
 
Début Juin : le « doublon normand ».
Samedi soir le marathon de la baie, de Cancale au Mont Saint Michel, où je reviens après 4 participations consécutives et une absence en 2006. Le parcours est toujours aussi magique avec cette ligne d’arrivée qu’on devine dans la brume depuis les hauteurs de Cancale.
Je récupère mon véhicule et repars pour Courseulles sur Mer (14). Les douches du camping sont fermées à cette heure tardive (1 H du mat’), je me lave avec un bac à vaisselle.
Dimanche matin, lever un peu difficile. Juste le temps d’avaler un café-croissant et c’est le départ du marathon de la Liberté de Couseulles au mémorial de Caen en passant par les plages du débarquement et Pegasus Bridge. Allure pianissimo. Les jambes sont lourdes et je vide un verre d’huile de massage à un poste le long du canal pour tenter de faire passer ces lourdeurs.
Je rêvais d’un doublon en moins de 8 heures, je me contente d’un 9 heures mais c’était un week end génial.
 
Mi-Juin : 24 heures de Grainville Ymauville.
En quittant Caen, je me jure de ne pas prendre part à ce 24 heures le WE suivant, auquel je suis inscrit depuis longtemps. Pour ne pas trop m’entamer à l’approche du Morbihan et parce que d’autres obligations sont venues se greffer ce samedi-là, je n’effectue au total qu’un 16 heures.
Pointage et ravitaillement dans le jardin des organisateurs, Laure Magnan et Serge Girard, qui ont déroulé le tapis rouge pour l’occasion. Laure pleine d’attentions pour les participants. Serge au petit matin, sur son VTT, la banane aux lèvres avec sa caméra. P. Bidaux, une gloire des courses du Pays de Caux, blessé, qui met un point d’honneur à ne pas abandonner et qui marche jusqu’au bout. La doyenne Maria qui fait ses 90 km pour ses 90 ans. Un 24 heures qui a un bon goût de « reviens y ».
 
Fin Juin : Raid du Golfe du Morbihan
Pour effacer la grosse déception de 2006. Je me fixe 36 à 40 heures pour parcourir les 178 km de ce chemin du littoral. Cette année, ce n’est plus la canicule mais plutôt humide la nuit. Un panaché bu en terrasse à Larmor Baden (vers le 50ème km) avant la nuit. La nuit est pluvieuse mais je reste en T-shirt, ça passe vite (trop vite ?), je vais bien. A Vannes vers 8H30, je me paie un sorbet citron, toujours la pêche. Puis c’est la longue presqu’île de Séné qui m’use mentalement. Je rattrape un copain plus fort qui est à la peine lui aussi. Nous nous traînons. A ce moment là, faire une seconde nuit m’emmerde. Je me secoue et je trouve l’énergie pour repartir. J’arrive finalement au mois de juillet à 0H33 (pour beaucoup, l’objectif était d’arriver « au mois de juin », c'est-à-dire avant le samedi 30 juin - 23H59). 30H32, dans les 80èmes, mazette je l’avoue, je suis fier de moi.
 
Fin août : UTMB.
On a déjà tout dit sur cette course, certains noms comme « grand col Ferret » ou « Bovine » sont devenus mythiques. En 2006, suite à une fin de course en état de grâce à partir de Trient, j’ai terminé en 42H10. Cette année, le parcours et le dénivellé sont rallongés, l’équivalent d’une heure et demi de plus, ce qui m’amènerait à 43H40.
Sur le chemin des Houches, alors que nous venons juste de partir, je discute tranquillement. Aucun stress, je me sens fort, persuadé d’aller au bout. Et effectivement toute la course se déroule comme dans un rêve. Je grignotte sans arrêt sur mes temps de 2006.
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 Col de Voza
 
 
Je découvre le val Ferret suisse et la Fouly de jour. Par contre, je monte les Tseppes by night.
Finish au coude à coude avec un compère italien. Toujours autant d’émotion à l’arrivée, la gorge qui se serre fort. Merci Catherine Poletti.
 
Mi-Septembre : Marathon Trail du Pays de Caux
Un trail à domicile ça ne se rate pas. Les retrouvailles avec deux coureurs du 14, Pascal et Olivier. Nous posons pour Laure Magnan en compagnie de la doyenne Maria qui « visite » à nouveau le Pays de Caux.
Pour une 1ère édition, c’est un succès. Météo exceptionnelle, parcours magnifique avec un final à couper le souffle sur les falaises d’Etretat.
 
Mi-octobre : Trail de la côte d’Opale
Encore une 1ère édition, encore une météo exceptionnelle, encore des falaises. Pour le reste, un avis mitigé en raison des deux énormes bouchons du départ, du parcours trop roulant et trop bitumé. Je retrouve une de mes idoles, que j’accompagne au début puis dans les derniers km, Annick, l’ultra-au-féminin. Nous finissons en 6H01mn pour un objectif à 6H00, quelle précision ! RV est pris pour les Balcons de Rouen.
 
Mi-novembre : Les balcons de Rouen (off)
Retrouvailles et découverte très conviviales, 43 km d’un trail urbain avec 950 D+ organisé de main de maître(sse) par Annick. Encore un ciel tout bleu. J’ai la pêche, chuis zheureux.
 
Début décembre : L’Origole
Au départ, je me dis que c’est du 50-50 pour passer les barrières horaires et finir dans les clous. Le temps limite est fixé à 11H, je m’estime à 10H30.
La 1ère boucle est très boueuse, on s’amuse comme des petits fous, jusqu’à ce que je m’étire un muscle en sautant un fossé avec la gracilité d’un haltérophile catégorie « sumo ». 3H10, je crois être éliminé mais l’organisateur a repoussé la barrière à 3H30 pour tenir compte des mauvaises conditions météo. Va pour la 2ème boucle. Là je me traîne, je marche, rien dans les cuisses, c’est dommage car j’ai beaucoup apprécié cette course. 8H11, je suis éliminé, la barrière était à 7H45.
J’aurai préféré terminer l’année en apothéose, autrement que par une élimination mais je reviendrai !
 
Un peu de repos va faire du bien. RV le19 janvier pour le Thames Ultra Path.
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29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 19:05
Quelles sont les données du problème en ce vendredi à 19h00 au départ de Chamonix:
D’une part, de gros problèmes gastriques depuis juin 2005 qui m'empêchent de manger et boire. Le dernier ultra s’est soldé par un abandon au 94ème km à Vannes lors du Raid du Golfe du Morbihan; ce problème  semble résolu depuis mi-juillet 2006 après une manipulation du diaphragme.
D’autre part, une feuille de route basée sur 45h00, qui est le temps limite autorisé, avec un coefficient de ralentissement de 0,6 (c’est à dire que j’estime que ma vitesse de course finale sera 60% de ma vitesse au départ de Chamonix). Les temps prévus par cette feuille de route flirtent avec les barrières horaires éliminatoires (par exemple, avance de 11 mn à Champex et même retard de 1 mn à Vallorcine). Cette feuille aura une importance stratégique par la suite, au niveau mental.
 
Chamonix- les Houches:
Départ ultra lent en fin de cet immense peloton de 2500 traileuses et trailers qui s’élancent de la place du Triangle de l’Amitié. Très rapidement, je m’arrête pour enlever la polaire. Une voiture arrive, le conducteur m’annonce qu’il ne reste que 5 concurrents derrière moi. Je suis vraiment parti très lentement, et malgré tout, je peste d'être aller un chouïa trop vite car j’arrive aux Houches avec 15 minutes d’avance sur ma prévision.
 
Col de Voza- les Contamines:
Montée tranquille, là où je me traînais l'an passé entre deux quintes de toux ! Et j'arrive frais comme un gardon, dans une ambiance de feu, aux Contamines là où j'avais compris en 2005 que je n'irai pas au bout de l’UTMB. 11 d’avance sur la prévision.
 
Col du Bonhomme- les Chapieux:
RAS, je monte tranquille. Il n'y a pas de vent, beaucoup moins froid qu'en 2005. Puis descente prudente, sans chute cette fois ci. Par contre, les soupes avalées précédemment prennent la fâcheuse tendance à vouloir ressortir et je sens les prémices des douleurs au ventre qui m'ont crucifié au Raid du Golfe du Morbihan.
Je prends un gros coup de bambou au moral. Je décide alors
1) d'arrêter de courir et de marcher uniquement.
2) de prendre exclusivement du thé avec 2 ou 3 sucres, qui passe bien (bien que je n'en boive jamais habituellement)
 
Col de La Seigne – Refuge Elisabetta:
Magnifique lever de soleil sur le versant italien.
Les temps prévus sont tenus (en avance de 9 mn au col, puis en retard de 3 mn au refuge). A Elisabetta, je croise olivier74 les larmes aux yeux, un ligament out, dur !
Je rentre dans la tente médicale. Le toubib me fait un rapide coup d'ostéopathie "grosse mode" comme il dit, en plein vent, et il m'assure que le diaphragme est libre.
 
Lac Combal- arête du Mont Favre- col Checroui-Courmayeur (km 73):
Jusqu’au lac, c'est plat et pourtant je ne fais que marcher car la douleur pointe sa sale trogne, dès que je trottine. Il faut faire avec. La suite se monte et se descend sans encombre. Quel balcon sur le versant Sud du Mont Blanc ! Courmayeur est atteint à 11h47 soit une avance de 6 mn. Ponctuel !
Dans le grand gymnase de Dolonne, je tente une bouchée de pâtes et ressort aussitôt au pas de course de la salle pour épargner un spectacle déplaisant à mes voisins. Il faut s'y faire: l’estomac m'interdit la nourriture et la course. Je me mets alors dans la tête que je démarre une longue rando et hardi petit.
 
Refuge Bertone- Arnuva:
A la sortie de Courmayeur, j'achète un sorbet citron. Maxithon me demande si je l'avais emmené dans mon sac (!) Ce sorbet me requinque complètement et je monte à Bertone en compagnie d'un vieux grognard qui compare UTMB et GRR et qui râle contre les barrières horaires qu’il juge trop serrées.
Le parcours en balcon est de toute beauté avec ces glaciers. A Arnuva, surprise, le temps prévu est toujours tenu (avance de 6 mn).
 
Ferret- La Fouly:
Sachant que ma vitesse prévisionnelle décroît de façon non négligeable (0,60, rappel pour ceux qui ne suivent pas), je comprends alors que même sans courir, je peux très bien aller au bout du bout. Et c'est avec un moral d'enfer que j'attaque le col du Grand Ferret, toit de l’UTMB, où je double Koline, qui m'annonce que Phil serait déjà du côté de Champex.
La pluie n'entame pas ma bonne humeur, ni même une chute sans gravité dans la descente.
A la Fouly, je suis toujours impeccablement ponctuel (avance 12 mn). Je me renseigne sur Phil (à Champex depuis 30 mn) et Olivier qui vient malheureusement d'arrêter ici même une demi-heure plus tôt. La prochaine fois, il faudra travailler avec les mobiles pour s'épauler mutuellement. Ce ravitaillement, c’est un peu la cour des miracles. Il pleut à seau dehors, il est 1 heure du matin, beaucoup de concurrents parlent d’abandon. Alors que je me pose moi même des questions, je fais le kakou en empoignant mon sac, je leur dis sentencieusement qu’ils le regretteront dès le lendemain, et je m’enfonce dans la nuit noire et les trombes d’eau. Je croise Koline qui arrive et qui renonce elle aussi.
 
Praz de Fort- Champex:
A Praz de Fort, pendant que je perce une ampoule avec une épingle du dossard (c'est radical), un indélicat m'"emprunte" mes bâtons.
Fou de rage.
Heureusement, un dénommé Pascal, ensommeillé et qui abandonne me prête les siens. Merci encore Pascal, tu m'as sauvé. Je retrouve l'indélicat à Champex, récupère mes bâtons, lui prête ceux que j'ai empruntés et lui fait promettre publiquement qu'il les rendra à son propriétaire.
Miracle ! Cette colère m'a ouvert l'appétit et j'avale une assiette de pâtes et des compotes, pour repartir 12 mn avant la barrière éliminatoire, exactement suivant la feuille de route.
 
Montée de Bovine- Trient- montée des Tseppes- Vallorcine:
Je double tant bien que mal, en raison de l'étroitesse du sentier, des groupes qui montent lentement à Bovine. Le sentier ressemble par moments à un ruisseau. Sur le sentier à flanc avant l'alpage, seul dans le brouillard, avec les lumières oranges de Martigny tout en bas, je savoure un moment égoïste de communion avec cet environnement montagnard. A Bovine, je suis en retard de 2 mn. Je « plonge » vers Trient d’où je repars avec une avance de 3 mn ; je commence à être persuadé que c'est (presque) gagné.
Revigoré par un chaud soleil, j'"avale" la dure montée des Tseppes où j'arrive en avance de 35 mn, puis descente jusqu’à Vallorcine où l’avance est maintenant de 1h02.
 
Le final sur un nuage:
Il est 11h00 en allant vers le col des Montets, dernière difficulté, et, avec un compagnon de fortune, nous supputons nos chances d'arriver à 14 h00 au lieu de la limite de 16h00. A partir du col, je décide de recommencer à courir, pour la descente schuss dont j'ai si souvent rêvé depuis des mois. Je vis alors 2 heures de plénitude comme encore jamais en course. Aucune douleur, l'impression de glisser souplement sur le terrain, la grosse bouffée d’adrénaline, quoi!
Avant d'entrer dans Chamonix, je ralentis très fort pour admirer encore une fois le Mont Blanc et savourer dans le silence ces instants magiques. Puis, j’entre dans Chamonix, on crie mon prénom, je salue les spectateurs, je remercie et j'essuie quelques larmes tout en courant à travers les rues.
Je me dis que je suis con, l’UTMB ce n'est qu'une course, mes dernières larmes c'était il y a 18 ans à la mort de mon père.
Ma montre indique 13h12 en ce dimanche. C'est fini, quelques UFO me félicitent, je rayonne intérieurement.
 
Merci aux Poletti pour cette course et à tous les bénévoles.
 

 

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13 juillet 2007 5 13 /07 /juillet /2007 18:25

Faute de combattants, l'édition 2007 de l'Albâtr'Off est annulée. Cet hiver, la date de mi-juillet m'avait semblé intéressante car c'est un WE pas trop chargé par les courses "in". Mais cette époque de l'année est plutôt orientée montagne.Beaucoup ont les yeux tournés vers le sommet ennaigé du MB, en vue de l'ultra trail du 24/25/26 août et c'est vrai que le dénivellé "modeste" de l'Albâtr'Off n'est sans doute pas le meilleur terrain d'entraînement.

Ce n'est que partie remise, pour 2008. Je réfléchirai à une date plus... hivernale.

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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 21:21

Le départ et l'arrivée, c'est là à Saint Pierre en Port, charmant bourg de la côte d'Albâtre. Vous remarquerez, que ceux qui en ont encore dans les jambes, pourront aller taper dans le ballon sur le terrain tout proche de l'ASSP.

L'ancien village était un port au pied des falaises. Le bourg a été reconstruit au XIVe siècle sur la falaise, car ses habitants en avaient marre que tout soit régulièrement détruit par les tempêtes. Ils ont même démonté, transporté, puis remonté toute la base du clocher de l'église. Aujourd'hui St Pierre en Port est donc un village sans port, avec seulement une rampe et un treuil  pour la mise à l'eau "musclée" des petits bateaux.

Hébergement: 1 camping + 1 camping à la ferme

+ possibilité d'hébergement en "dortoir" gratuit le 13/07 et le 14/07 au soir -15 personnes maxi (me contacter).

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19 février 2007 1 19 /02 /février /2007 23:36

En attendant la vraie reconnaissance in situ avec l'alti qui va bien, voici un avant goût du parcours:

http://www.gmap-pedometer.com/?r=717625

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 21:51

Ce projet de créer un ultra "off" sur la côtre d'Albâtre est né au cours du mois de juillet 2006. Une 1ère reconnaissance eut lieu à cette époque.

PARCOURS:

80 km sur les GR 21 et 211. Essentiellement sur chemin, avec aussi des portions de bitume.

Départ: Saint Pierre en Port (à 14 km à l'Est de Fécamp)

puis Eletot, Fécamp, Ganzeville, Valmont, Grainville la Teinturière, Cany, Veulettes, Sassetot, Saint Pierre.

Pour ce qui est dénivelé, je le repréciserai après le prochain repérage.

DATE: 14 juillet 2007.

CONDITIONS:

Carnet de route fourni.

Peut-être balisage des coins chamoteux.

En totale autonomie pour le ravitaillement. Pour ce qui est du liquide, je cherche le moyen de disposer 2 ravitaillements sur le parcours.

A bientôt.

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