Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Port crouesty 2007 (arrivée du Raid du golfe du Morbihan)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Saint Gilles 2008 (Diagonale des Fous)

P1010190.JPG

Recherche

Programme 2012

programme pour 2012

21 janvier: RAID 28 trail orientation en équipe 95 km 1200 D+

29 avril: RADICATRAIL 56 km 1250 D+

13  mai:   TRAIL PAYS DE BRAY 55 km 1100 D+

22 - 23juin: GRAND RAID 56  177 km 

23 - 26  juillet: FRA LI MONTI (GR 20) 175 km 12000 D: en off, objectif 96 heures maxi.

9 - 16 septembre:     TOR DES GEANTS    330 km  24000 D+

8 décembre: TRAIL DU TOUR DU CANTON    82 km  1000 D+

20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 23:13

C'est par un très beau temps que j'embarque, vendredi vers 13 heures, à Quiberon à bord du Vindilis pour une traversée rapide vers Belle île en mer. Les trailers, reconnaissables à la silhouette et à la coupe "court" ont pacifiquement envahi le navire en vue de la première édition du trail.

P1010003 1

Pointe de Taillefer et tout au fond, la pointe des poulains

 

P1010004 1

Arrivée à (Le) Palais

 

P1010009 1

Briefing de l'organisateur Claude Leborgne


Trois parcours sont proposés: 83 km, 45 km et 13 km. Le 83 km est annoncé très difficile avec un assez modeste mais trompeur 2000 m D+, ce que souligne Christophe Malardé, parrain de l'épreuve. Le temps limite est de 14 heures, il faut être rentré pour 21 heures.

P1010012 1

 

P1010014 1

Départ à 7 heures avec feu de bengale et cornes de brume

 

 

P1010015 1

Première montée à la frontale

 

P1010016 1

Un celto-thibétain

 

P1010017 1

Premières lueurs à l'Est, alors qu'on avance à la queue leu-leu sur un sentier monotrace

 

P1010019 1

ça commence à monter sérieusement

 

 

P1010022 1

lever du soleil pendant une traversée de plage

 

Je sens que la course est partie bien vite, mais c'est difficile de résister à la "pression" sur un sentier monotrace. Locmaria, premier ravitaillement est atteint à 9 H au bout de 2 heures de course.

 

P1010023 1

départ d'un concurrent du Ravitaillement de Locmaria

 

P1010026 1

ça descend, puis ça monte, puis ça descend, puis...

 

Dans une descente avant Bangor, je me prends le pied dans une racine et je m'étale dans les épineux. Belles écorchures sur le devant du mollet gauche.

Bangor, 2ème ravitaillement atteint à 11H45 (barrière horaire à 13 H). Coup de mou, je m'accorde 15 minutes de repos.

Un bénévole nous annonce le prochain point d'eau, l'Apothicairerie à 12 km (km 50). Comme je ne bois pas beaucoup, je ne repars qu'avec un petit litre d'eau.

 

P1010027 1

Afin de préserver les zones sensibles, et après négociation avec le conservatoire du littoral, tout dépassement est interdit sur une dizaine de zones réparties au long du parcours. Le non respect entraîne la disqualification immédiate.

 

P1010028 1

 

P1010029 1

 Les coureurs devant remontent sur le sentier en face

 

P1010030 1

D'autres avancent sur la plage derrière

 

P1010031 1

Quelques photos de la côte sauvage pour donner des regrets à ceux qui ne sont pas venus.


Je me prends à nouveau le pied dans un caillou, et je pars en roulé boulé. Bilan: ça saigne aux deux paumes de main et au coude droit,  un nettoyage désinfectant dans l'eau de mer. En plus, j'ai déchiré le haut de mon sac fétiche, 10 litres Raidlight.

 

 

P1010032 1

 

 

P1010033 1

 

P1010034 1

 

P1010035 1

Le grand phare

 

P1010036 1

 

C'est long pour arriver à l'Apothicairerie ! Je réalise soudain que la barrière y est à 17 H, il n'y a donc pas 12 km entre Bangor et l'Apothicairerie comme l'annonçait le bénévole de Bangor mais 22 km !!!

Une charmante vieille dame m'offre de l'eau du robinet, je refais le plein.

Bien que je me traîne de plus en plus, je conserve de la marge puisque j'atteins l'Apothicairerie à 16 H.

 

P1010037 1

 

P1010038 1

Juste après la pointe des poulains

 

P1010039 1

Avec Olivier (VLC), nous avons passé tout l'après midi à papoter en racontant nos "souvenirs de guerre", en évoquant nos projets, en s'extasiant sur les Géants du Tor des géants, ... et en courant un peu quand même.

 

P1010040 1

Port de Sauzon, 3ème ravitaillement, atteint à 18 Heures (barrière horaire à 19 heures)

 

P1010041 1

Nous remontons au dessus de Sauzon, le port le plus peint de Bretagne selon Olivier, qui me fait remarquer qu'on ne voit pas de coureur derrière nous sur les quais. On ne doit pas être loin de la queue de course.

 

P1010042 1

La côte Nord et tout au loin, la pointe de Taillefer, la dernière avant Palais.

A ce moment, je décide de m'asseoir 5 minutes avant les six derniers km annoncés très éprouvants

 

P1010044 1

Le soleil décline à l'approche du fort Vauban.

Je franchis la ligne à 20 H 03, en 13 H 01 mn, contrat rempli. Chouette, sixième ultra de l'année bouclé après l'Ecotrail de Paris, la Vallée de Chevreuse, le raid du Ventoux 56 km, la Moyenn'Hard 56 km, la Courmayeur-Champex-Chamonix bis 88km il y a trois semaines. La saison se termine en apothéose.

Le patron du restau où je m'affale, affirme péremptoire: "Ce que vous faites les mecs, ça ! ça c'est du vrai sport!"

Olivier est arrivé en 13 H et quelques secondes. Il avance, mi-amusé, mi-sérieux : "Cette course ve devenir un mythe, on pourra dire qu'on aura fait la première".

La belle îloise Pierrette, 71 ans arrive dix minutes derrière moi. ça rend humble !!


Deux heures plus tard, alors qu'il fait nuit noire, un groupe de frontales surgit du fort Vauban. Il s'agit des pompiers du 44 et du 56 qui ont transporté des enfants handicapés en joêllette. Beaucoup de spectateurs, de bénévoles, de trailers sont encore là pour les applaudir longuement comme ils le méritent. Un des pompiers pleure à chaudes larmes. La fillette dans la joêllete nous fait tous rire en racontant que, au début, elle a eu "un peu peur de tomber dans la mer".

 

Wouah ! quelle chance de vivre de telles journées !

 

 

P1010047 1

Dimanche après midi, toujours par grand beau, il est temps de dire au revoir à Belle île en mer, et un grand merci au comité d'organisation et aux bénévoles pour leur accueil chaleureux et leur course magnifique.

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 21:00

Dans le "déluge" (désolé pour cette fine allusion) des propos qu'on trouve sur la toile concernant l'annulation de l'UTMB, deux messages extraits du forum de l'UTMB,

 

l'un le récit d'un secouriste à la Tête aux vents sur la CCC le samedi matin dans la nuit:

"Ouffff c'est fini... [...]. Notre équipe de secouristes dépéchée en urgence à passé la nuit et une partie de la matinée à aller chercher des gars en perdition sur les pentes de la tête au vent. Nous avons secouru nombre de traileurs dont 6 que nous avons du brancarder jusque la Flégère en état d'hypothermie avancée à travers les torrents et les coulées de boue ainsi que veillé sous la pluie et la neige jusque 9h du matin que tous les autres n'aient pas de soucis." 
" La principale qualité d'un montagnard est de savoir renoncer à temps et éviter de mettre sa vie en danger, je ne pense pas qu'il vaille le coup de mettre son integrité physique en jeu pour un défi, si important qu'il soit. Cela fait 6 ans que j'apporte mon soutien à cette course et j'ai vu des choses que je pensais impossibles et d'autres qui m'ont foutu réellement la trouille ! Jamais vu les sentiers des Tseppes s'effondrer sous les pas des trailers, jamais vu les torrents de boue et de pierres dévaler le long du sentier de la tête au vent, jamais vu un trailer au bord de l'évanouissement couché dans un lit de torrent entouré de sa couverture de survie; les lèvres et les mains violettes, ne sentant plus ses pieds et tremblant de tout son corps, et surtout c'est la première fois que j'entends le fameux "sifflet obligatoire" résonner autant de fois dans la nuit... Nous avons retenu notre souffle toute la nuit de vendredi jusqu'au samedi après le passage du dernier trailer pour rallier la Flégère, arpentants cette partie de sentier sans interruption dans le brouillard et la pluie/neige continus. Les décisions prises ont été bonnes mais la CCC fut (à notre appréciation) neutralisée un peu trop tard. Des conditions météos démentes en résumé."

 

et l'autre une réflexion posée et pleine de bon sens à mon avis:

"A la lecture de ces quelques lignes, j'ai vraiment une pensée pour tous ces trailers "prévoyants", "responsables" et expérimentés (du haut de leurs 4 points qualificatifs) observés à mes côtés aux Houches ou à St Gervais avec des ponchos de pluie "marathon de paris" ou des sacs poubelles en guise de coupe-vent, tous ces sacs à dos ultra-lights "parce qu'on part pas faire une rando quand même!" (comme on a pu le lire sur le forum...) et qui partaient vers Les Chapieux en toute insouciance. Je ne suis pas un spécialiste du trail, j'ai comme tout le monde les boules depuis 10 jours, une frustration énorme dès que je repense à cette non-course, mais franchement, comment ne pas penser que l'on est pas passé à côté d'un "carton" en envoyant 2300 gars dans la montagne ce soir là ? 
Sur le fond, soyons de bonne foi et reconnaissons que l'organisation a eu raison de ne pas nous laisser monter plus haut! et si je ne prône pas l'élitisme dans ce genre de course, je ne trouve pas scandaleux que l'on élève le seuil de sélection pour l'UTMB. Alors, 5 points en deux courses, OK, pourquoi pas... même 6 ou 7 (je ne les ai pas !) à la rigueur, si cela peut écrémer le peloton de quelques inconscients qui ont risqué gros cette nuit là et peut être même fait risquer gros aux sauveteurs (même si les conditions n'avaient pas été aussi démentes, vous vous voyez attendre les secours ne-serait-ce que pdt 20 minutes en tee-shirts et manchettes dans une simple couverture de survie avec une cheville en vrac ?). 
Franchement, soyons raisonnables, prendrait-on tous ces risques seuls, si nous ne faisions pas ce parcours sous l'égide d'une l'organisation? Si l'inscription engage M. et Mme Poletti (je caricature...), elle ne nous donne pas le droit de prendre des risques insensés non plus. Alors, à tous les coupe-vents "marathon de Paris" (je n'en ai pas vu des "eurodisney" mais en cherchant bien...) et autres sacs poubelles, vous avez raison, si la météo est clémente, vous pouvez aussi très bien traverser l'Atlantique sur une coque de noix, ou faire le tour du monde à 14 ans seulement, mais franchement... si vous voulez approcher le cap Horn ou si le temps se gâte, comme pour nous le 27 aout dernier, au premier coup de vent, ça deviendrait vraiment "chaud". Et dans ces conditions je ne vois pas le Vendée Globe valider votre inscription. On rale suffisamment (et à juste titre!) sur ces touristes sous équipés qui partent à l'assaut du Mont Blanc comme une "simple" course de moyenne Montagne, alors ne reproduisons pas à notre échelle de trailer les mêmes erreurs. Que cette malheureuse édition 2010 nous donne à réfléchir une fois la frustration passée.  
Allez, j'arrête mes comparaisons nautiques et maritimes, merci à tous les bénévoles, les sauveteurs et retenons que, sans être mystique, le Mont-Blanc ça se mérite et que, ben cette année, il voulait pas, alors peut être que l'année prochaine il voudra bien .... (enfin, si le tirage au sort le veut bien aussi...) ".

Partager cet article
Repost0
6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 14:02

Les discussions font rage sur la toile, suite à l'annulation de l'UTMB.

Je me suis octroyé une semaine de récupération.

Reprise vendredi soir à Saint Adrien par 950 m+ et m- en 1 H45, avec en prime un superbe coucher de soleil sur la vallée et l'agglo. Sans doute un peu de surcompensation, parce que c'est la grande forme moins d'une semaine après la CCC bis.

Et dimanche matin, encore 1118 m+ et m- sans forcer.

Belle Isle en trail c'est dans 15 jours, et les organisateurs annoncent 2000 m+.

 

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 13:02

Je comprends l’amertume de certains. Pour ma part, par un concours de circonstance, j’ai eu la chance de participer à la « relance UTMB » et vivre une de mes plus belles courses. C’est un bonheur égoïste, mais d’autant plus intense qu’il suit de nombreuses galères.

 

La semaine qui précède la TDS, je me suis mis la pression. Vingt deux mois que je n’ai pas terminé un trail montagnard long, depuis l’arrivée magique au stade de la Redoute à la Réunion en octobre 2008.

En 2009, j’ai bâché le GR 73 et la Montagn’Hard en raison de troubles digestifs par la chaleur, puis j’ai bâché l’UTMB par grosse fatigue après avoir gelé au Ferret.

En 2010, complètement rincé par une anémie, j’ai bifurqué sur le petit raid du Ventoux, puis sur la Moyenn’Hard 56 au lieu des 100 / 110 bornes initialement prévus.

Un polype intestinal en moins, je me suis entraîné dur sur les falaises de craie en Normandie.

La façon dont se déroulera physiquement cette TDS décidera de mon avenir sur les trails montagnards longs.

 

Après un papotage avec Runstéphane, j’assiste au départ magique de l’UTMB en compagnie du Piou, Paulo et Gilbert. Puis, il est temps de retourner au Grépon pour me mettre en tenue. Sous une grosse averse, je rejoins Michel, un compagnon du GRR 2008. Il a choisi le bus de 20 H, ce qui me paraît bien tôt mais je le suis.

Il s’avèrera que sur ce coup là, il a eu un feeling d’enfer car ce sera le dernier bus à partir pour Courmayeur.

 

A Courmayeur, blotti dans le hall lugubre au milieu d’une « armée en déroute », j’entends la pluie battre les vitres. J’ai fait un off de 50 km début août dans le secteur Grenairon – Fiz, dans des conditions quasi hivernales (montée du Dérochoir sous des trombes d’eau glacée, entre autres), sans problème gastrique. Le froid et la pluie me vont bien. Et puis quand on voit les intempéries que subissent les pakistanais en ce moment… Je deviens confiant et …je m’endors.

 

Je suis réveillé par une grande agitation dans le hall, l’UTMB est annulé !

Après différents messages, départ reporté à 4 H, puis à 5 H, puis annulation, j’apprends vers 6 H qu’une nouvelle course partira de Courmayeur à 10 H. Avec Michel, aucune hésitation, nous sommes venus pour courir en montagne, nous serons de la partie.

 

Après tous ces évènements, l’ambiance du départ est un peu curieuse, mais tous les présents semblent vouloir en profiter à fond.

Ça bouchonne dans Bertone, nous avançons à un train de sénateur qui me convient. Malgré notre lenteur, j’ai un peu le souffle court, un reste de mon anémie printanière.

2010-08-27-ccc-bis 0606

Dans la montée de bertone © Runstéphane

Avec Michel, notre stratégie est simple. Nous ne forçons pas. Comme je suis un peu plus rapide, je m’éclipse généralement dans la seconde partie des tronçons et je l’attends au ravitaillement suivant.

 

Chaque tronçon est dégusté avec une aisance qui me surprend. Point numéro un, l’estomac se porte comme un charme, je mange et bois à satiété pour la première fois depuis si longtemps. Eh bien, cela change vraiment la vie de se balader ainsi, sans être obligé de jeûner pour éviter les vomissements incessants !

Et quand l’estomac va, tout va. Les pieds nickel, les cuisses pareil, la lucidité pour se vêtir en fonction de la météo changeante, etc, etc…

 

En haut du Ferret, c’est hot !, ou plutôt froid d’ailleurs. Quel courage de la part des bénévoles qui restent stoïques ! On ne les remerciera jamais assez, tous ces inconnus qui donnent leur week end pour qu’on gambade sur ces sentiers.

Nous finissons par arriver à Trient à 1 H du mat, où Michel décide de rester 45 minutes à se reposer. Je repars seul, et pour la première fois je pense à un objectif : pourquoi ne pas rentrer dans les 1000 ?

 

Je déboule sur Vallorcine comme un kéké, tant et si bien que je chute vers le bas. Grosse douleur à la jonction du pied et de la cheville gauche.

Le long de la voie ferrée, je vois les frontales qui brillent le long de la dernière ascension qui semble monstrueuse. Avec mon pied gauche en vrac, j’accuse un coup de mou. Je positive : 650 m de D+, c’est neuf fois la côte Ste Catherine à Rouen, mon terrain d’entraînement. Neuf fois, c’est ce que tu fais le soir en sortant du boulot, allez mon gars !

 

Au sommet, le lever du soleil sur la chaîne du Mont Blanc est tout simplement magnifique. Je resterais bien là une heure ou deux à contempler ce spectacle, mais je m’arrache à la contemplation pour éviter de me refroidir.

Après la descente de la Flégère « schuss », je retrouve les rues de Chamonix encore un peu endormies. Il est 8 H 40, je vois Jean Yves qui était sur l’UTMB et le mari de Koko.

Je franchis la ligne avec une forme d’enfer, quelle chance d’avoir la santé et les finances pour participer à ce genre de truc.

2010 08 UTMB 030

Deux compère de la Diagonale des Fous 2008, radieux à Chamonix à côté de la fontaine de ... Cilaos ©Jean Yves


A l’année prochaine pour la vraie TDS.

Partager cet article
Repost0
1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 12:59

Ecotrail de Paris

 

 

Trail de la Vallé de Chevreuse

 

 

Raid du Ventoux

 

 

Moyenn'Hard

Comte rendu en video cette fois ci


Montagn'Hard 2010 (1ère partie)

 


montagn'hard 2010 (2ème partie)

 


Montagn'Hard 2010 (3ème partie)

Corsica

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 22:55

Une année 2009 difficile avec trois plantages sur les principaux objectifs en trail.

Janvier, besoin de souffler après la Diagonale des Fous 2008 et une fin d'année corsée pour franchir la barre symbolique des 100 000 m D+. Paris-Mantes pédestre.

D+: 4191 m cumul: 4131 m.

 

Février, rien de spécial

D+: 3870 m cumul: 8061 m.

 

bully1

Mars, une belle balade au Trail bullygeois des Poilus à Bully les Mines, côté de Lens 54 km et 1286 m+, organisé de main de maître par ch'ti lolo

 

D+: 5155 m cumul: 13216 m.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avril, je décide de refaire un marathon, en préparation des 100 km de Belvès.

Je pars pour Cheverny après une trop courte nuit, très tôt le matin mais beaucoup trop tard. Sur la route, je stresse de louper le départ. Je prends mon dossard vingt minutes avant le coup de pistolet. Pendant longtemps, je pense tenir le niveau de mon record perso (3 H 33 à Paris 2000). Mais je m'écroule sur la fin pour échouer à 3 H 44 mn 32, (565è) ce qui constitue mon 2è  meilleur temps avec Rotterdam 2002.

 

Pour la Megatoff des UFOs, parcours entre la gare de Rouen (où je récupère le fanion des mains de Phil) et celle d'Yvetot, entre 6 H et 12 H. J'ai choisi de petites routes mais certaines s'avèrent très fréquentées vers 8 - 9 H. Sinon, c'est très tranquille, 49 km en 5 H20. Je transmets le fanion à Breathe.

  P1010899-red.jpgP1010901-red.jpg

Les 100 km de Belvès sont parcourus par un temps très pluvieux et assez frais, ce qui me va bien. Objectif 12 H. Je fais les premiers km avec Ventrachou77 avant de le laisser avec son accompagnatrice.  Je finis en 11 H 33 sous des trombes d'eau, avec mes enfants, en explosant mon record belvèsois de 13 H 15.

 

D+: 2786 m cumul: 16002 m.

 

Mai

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

Juin

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

Juillet

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

Août

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

Septembre

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

octobre

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

novembre

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

 

Décembre

D+: 4131 m cumul: 4131 m.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 22:48
Pour démarrer cette  nouvelle année, rando course vers Veulettes/mer.
20100101-1

27,5 km à rythme pépère, le manque d'entraînement et le réveillon se font sentir.
20100101-2
Et zou! voilà les 385 premiers m D+ de l'année.
Partager cet article
Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 21:39
llm
20100101-1

mmmm
20100101-2

lmm
Partager cet article
Repost0
14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 09:46
En apprenant cet été la création de ce trail, je salivai d'avance: une course sur mon parcours d'entraînement préféré. Immanquable!
Mais les organisateurs ont imposé une condition draconnienne et totalement inhabituelle: certificat médical de moins de 3 mois. Si chacun y va de sa condition spéciale pour les certifs, cela va devenir compliqué et onhéreux!
Surtout de la part de "nouveaux venus" qui surfent sur la vague très tendance de la course nature.
Ce qui m'a valu un petit échange piquant par mail avec les organisateurs.
Bref, on accepte les règles du jeu ou non, je ne les ai pas accepté et donc je ne me suis pas inscrit à cette course.

Marrant: j'ai découvert, après coup, que les organisateurs se sont "déculottés" quelques jours avant la course pour finir par accepter les certifs de moins d'un an.

Je regrette que les baliseurs de cette "course nature" aient sans doute oublié d'employer une peinture biodégradable GRRR!
Un gros mois après l'épreuve, et malgré les fortes pluies, la peinture orange est bien présente comme dans la montée vers les Wagands.

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 09:07
Le trail_du_rouvray_2009 aura lieu le 22 novembre prochain.
Reconnaissance plus ou moins fidèle.
Le parcours est très roulant: 25.4 km pour 316 m D+.
Quelques problèmes d'adéquation entre la trace relevée d'après le site web et les chemins sur place. La forêt encore dense à cette époque, a peut être faussé le GPS.
Partager cet article
Repost0